(Je ne suis pas une poète...)
Mort d’une saison.
Ci gît-elle, ensevelie
Sous la brume faite linceul.
Un bourdon n’a, lui,
Pour suaire seul,
Que les gravats
De la sente;
Ma marche lente
Martèle son glas.
26.11.08
Novembre 4
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Quel étonnant poème! Vraiment, il détonne de ceux que j'ai l'habitude de lire (...mais je n'en lis pas beaucoup). C'est très réussi.
Enregistrer un commentaire