La bonne nouvelle, c'est que les effets de la suffisance, comme déni de la réalité, finissent par se retourner contre nous. Il est évident qu'à force de se trouver profondément au-dessus de tout le monde, d'être incapable d'admettre ses manquements, ses erreurs et son hypocrisie, on finit par être si sûr de soi qu'on commet des actes grossièrement inacceptables et fort malhabiles. De plus, contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'autre et ce qu'on lui fait ont une incidence importante sur notre existence. Les gens sont moins idiots que ce qu'on se plaît à déclamer à tout propos. Beaucoup ont des yeux pour voir. On ne peut l'ignorer que jusqu'à un certain point, soit la retombée de la Proverbiale Porte sur le Précieux Popotin.
L'autre bonne nouvelle, c'est que mes capacités de déduction sont encore fort efficaces, vu le nombre restreint de pistes auxquelles j'avais accès. Sarcasme ou non, (pour ce qu'il implique de toute façon), je m'accorde tout de même une bonne tape dans le dos et cinq morceaux de robots.
La mauvaise nouvelle, c'est que c'est jamais plaisant de se faire mener en bateau. En fait, je vais finir par développer un mal de mer chronique à force de ramer sur autant de galères.
Partons, la mer est belle, embarquons-nous, ô, pêcheurs..
Guidons notre nacelle, ramons avec ardeur...
Allez, hissez les voiles, le ciel est pur et beau;
Je vois briller l'étoile qui guide les matelots.
1.3.08
CQFD
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3 commentaires:
Ahaha, cocue!
T'es pas très gentille.
Stie de pussyboy, pareil!
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